Je viens ici pour l'amitié tout simplement et surtout pas pour la guerre des blogs. Non plus pour des imbéciles qui te font croire qui sont des amis sincères et sans pudeur te salissent derrière ton dos comme certains. J'ai construis un blog pour l'amitié sincère et durable pour les bons et les mauvais moments de la vie de chacun et sans hypocrisie. Je suis là tout simplement pour aimer et être aimée…Mon amitié est sincère. Je suis une femme qui n'aime pas les guerres sur les blogs ni les embrouille et je ne veux pas que l'on m'en procure. Ceux qui viennent pour poser des problèmes sans les avertir je les exclu de mon univers sans détour et sans pitié. Je voudrai aussi éviter les chaines, sauf évidemment les articles à faire suivre pour les malades. °*°*Ce sont mes amis qui m'ont fait aimer la vie. Ils me rendent meilleur à mesure que je les trouve meilleurs eux-mêmes... °*°* Amour...Amitié…Fraternité…Partage Merci à vous et bonne visite, merci de votre compréhension, Barbara…
SI TU ES UNE VRAIE AMIE TU PEUX FAIRE CELA: UNE PERSONNE HANDICAPEE N'EST PAS CONTAGIEUSE ELLE DEMANDE JUSTE QU'ON L'ACCEPTE TELLE QU'ELLE EST DANS LA SOCIETE. 97%DES PERSONNES NE COPIERONT PAS CETTE ANNONCE ET NE L'UTILISERONT PAS COMME STATUT, SERAS TU COMME MOI L'UNE DES 3% A AFFICHER CE STATUT AU MOINS PENDANT 1HEURE SUR TON BLOG OU SUR TON PROFIL
L'esclavage a été pratiqué dans toutes les sociétés sédentaires.
Dans l'Antiquité,
c'était le sort qui attendait ordinairement les prisonniers de guerre.
Le mot esclave vient du mot Slave
parce qu'au début du Moyen Âge,
les Vénitiens vendaient en grand nombre
des Slaves païens aux Arabes musulmans,
lesquels faisaient une grande consommation
d'esclaves blancs aussi bien que noirs.
Au XVIe siècle,
la colonisation du Nouveau Monde
a suscité de nouveaux besoins de main-d'oeuvre.
Les Européens ont alors fait venir des esclaves d'Afrique,
où ils n'avaient guère de peine à trouver des vendeurs
Aux Temps modernes
(XVIIe et XVIIIe siècles),
l'esclavage et la traite ont suscité en Occident
le développement du racisme et du mythe
de la supériorité de la race blanche.
Les gouvernements ont choisi d'encadrer l'esclavage pour en limiter les abus,
faute de pouvoir l'interdire.
C'est ainsi que Colbert et son fils,
ministres de Louis XIV,
édictèrent le Code Noir en 1685.
Abolition de l'esclavage
Le 4 février 1794, pour la première fois dans l’histoire,
fut proclamée par la Convention nationale,
l’abolition de la traite et de l’esclavage,
près de 4 ans après l’adoption par l’Assemblée
de la Déclaration des droits de l’homme
et du citoyen.
Mais l’abolition,
appliquée dans toutes les colonies françaises,
sauf à l’île Bourbon et aux Mascareignes,
fut révoquée en 1802.
Il fallut attendre le 27 avril 1848
pour que le gouvernement provisoire
de la République abolît
par décret l’esclavage.
Désormais,
selon l’article 7 du décret d'abolition immédiate
de l’esclavage :
« Le sol de France affranchit l’esclave qui le touche ».
Reportons-nous tout d'abord à l'événement
de la première abolition,
puis à celui de l'abolition définitive de l'esclavage,
et plus particulièrement aux débats à l'Assemblée,
notamment ceux de 1794 et de 1848,
avant d'examiner le déroulement chronologique et l'épilogue,
aujourd'hui,
de ce qui est devenu désormais
une mémoire et un récit partagés.
Nicolas A. Monsiau -
L'abolition de l'esclavage proclamée
à la Convention le 16 pluviôse an II Dessin à la plume rehaussé de gouache -
Musée Carnavalet, Paris
voila un très beau commentair que j'ai reçu et je vais rajouter a mon article
Merci Taysis
pour ce magnifique commentaire
L’ESCLAVAGE L’Islam
était la seule religion qui avait interdit la pratique de l'esclavage, il y a plus de 14 siècles. Nous sommes nés libre main libre pieds libre non attachés ou cadenassé Le Calife Omar a crié à l'un de ses gouverneurs :" Depuis quand avez vous asservi les gens alors que leurs mères les ont enfanté libres. Les gens sont égaux comme les dents d'un peigne". Et voila que des millions de pauvres gens, amenés déportés en masse bien loin de leur pays d'origine, de leurs continent se seraient trouvés errant dans les rues sous d'autres cieux. Nous citons comme un Model moderne les USA qui du jour au lendemain décréta l'abolition de l'esclavage, jetant à la rue des centaines de milliers d'ouvriers sans distinction de couleur, les malheureux n'avaient pas de repères n’avait ni gîte, ni couvert, ces milliers d’esclaves retournaient à leur anciens maîtres en les suppliant de les reprendre travailler et manger tels étaient leurs devises la devise du pauvre, la devise des damnés de la terre. Par contre le Coran, il enseigne la fraternité des hommes, la justice et l'humilité, il a non seulement contribué a l’amélioration de la condition des esclaves mais il a anticipé leur libération définitive et a l abolition de l’esclavage. Nous sommes tous les humbles serviteurs de Dieu et nous remontons tous à Adam (A.S ) lui même de terre. Ni la naissance, ni la couleur, ni la fortune ne nous donnent une supériorité quelconque aux yeux du Créateur. Il ne nous juge que d'après notre piété et "les plus pieux sont pour Dieu les plus noble" (Coran). Un hadith dit :"On n'est vraiment croyant que si on aime pour son prochain ce qu'on aime pour soi même et que si on n'aime pas pour lui ce qu'on n'aime pas pour soi même".
La crise que traverse le Kenya, depuis un mois, témoigne de la fragilité de l'Afrique du 21 ème siècle. Le monde est surpris qu'un pays comme le Kenya, jusque là en paix, puisse basculer aussi spontanément dans la violence. Selon l'AFP, en un mois, il y a eu plus de 900 morts et environ 250 000 déplacés.
C'est hallucinant, et l'Afrique pense faire un cauchemar, mais malheureusement, c'est la dure réalité que nous renvoient nos petits écrans.
Le monde dans lequel nous vivons, est loin de refléter la justice car ce qui se passe au Kenya est un échec de la démocratie.
Au lendemain de la réélection controversée de Mwai Kibaki, les violences politico- ethniques ont défrayé la chronique. Les machettes tant redoutées en Afrique, depuis le génocide du Rwanda ont refait surface, plus impressionnant encore, des personnes sont brûlées vives, et lacrise se propage d'une province à l'autre.
L’injustice,
la révolte,
l’horreur et la terreur
Le viol comme arme de guerre,
une fois encore au Kenya
Femmes victimes de violence sexuelles graves.
Dans la plupart des cas,
ces agressions sont le fait de bandes.
Le viol est une fois de plus utilisé
comme arme de guerre.
Ce beau pays qui est le KENYA, ce beau pays de l’Afrique de l’EST
qui compte plus de 33 millions d’habitants, ce beau pays avec ces réserves naturelles, ces savanes, ces brousses, ces immenses espaces vert ; ça diversité ethnique et linguistique ce beau pays malheureusement plonge dans l’horreur,
plonge dans la terreur par uneguerre des plus atroce une guerre fratricidesdes frères ennemis qui ont pris toute une population en bouclier humain pour causée par les dernières élections présidentielles du 27 décembre 2007.. Des scènes de violences se succèdent des fusillades en pleine rue de la ville.
Les cadavres s'entassent dans les morgues. Les corps portent des blessures de toutes sortes d'armes: machettes, lances ou encore même des flèches.
Le résultat contesté par l’opposition tachée par des irrégularités considérable et truqué selon l’opposition, le président sortant réélu, (dans toute transparence et démocratie…) résultat mis en doute même par les USA. Son ancien allié et opposant a son régime se proclame lui président de son coté
(un seul pays sous la présidence de deux (02) présidents opposant), la tension monte les frères se retrouvent dans les rues, les bidonvilles, saccageant les biens, exterminent les opposant, mettent le feu dans partout, même sur les corps humains jonchés sur des rues menant à nul part.
Les premières victimes au nom de la démocratie sont décapités, brûlés vifs, même dans les lieux de cultedes atrocités, des massacresqui sûrement dégénéra a un génocide
Cher amis (es) ce sujet qui me ronge le cœur depuis quelque jours , ce sujet qui n a rien à avoir avec une Pub ni pour le tourisme ni pour le safariau Kenya, ce sujetdénonce ces massacres qui se perpétuent au nom de la démocratie ce sujet dénonce
Tous ceux qui encouragent les violences et quirestent confortablement à l'abri de leurs luxueuses villas pendant que le pays brûleces massacres nous les laisseront pass’étendre vers d’autres cieux , comme ça été le cas au Rwanda Un geste, un mot, une prière , une pensée peux sauver un être humain. Sauvons le Kenya tant qu’il est temps ….
la commémoration du sacrifice d'Abraham. Si la foi islamique s'exprime discrètement tout au long de l'année, le Prophète a voulu qu'en deux occasions (l'Aïd el-Kebir et la fête de la rupture du Jeûne, l'Aïd el-Fitr) cette foi affiche au contraire, au grand jour, la joie qu'elle procure à ses fidèles .
La fête de l'Aïd Al-Kebir a lieu le 7 du mois Dhou-l-Hijja, le 12ème mois lunaire, qui est également le mois du pèlerinage à la Mecque. L'Aïd-El-Kebir, ou "grande fête", commémore l'histoire bien connue du sacrifice d'Abraham. Cette histoire, que l'on trouve dans l'Ancien Testament, raconte que Dieu, pour éprouver la foi d'Abraham, lui demanda de sacrifier son jeune fils unique. Abraham, la mort dans l'âme, allait obéir et égorger son fils, lorsque Dieu arrêta sa main et, pour le remercier de sa loyauté et de son obéissance, lui demanda de sacrifier plutôt un mouton à la place. C'est donc en souvenir de ce sacrifice que les musulmans ont coutume d'égorger un mouton le jour de l'Aïd-El-Kebir.
En dehors de cette coutume, c’est également un jour de réjouissances où l’on festoie en famille. Voici donc ce qui est écrit dans les livres saints : Laissons aux exégètes le soin de s’entendre sur l’identité du fils qui devait être sacrifié. Certains disent qu’il s’est agi de Isaac, d’autres de Ismaël.
Après ces choses,
Dieu mit Abraham à l’épreuve, et lui dit : Abraham !
Et il répondit :
Me voici !
Dieu dit :
Prends ton fils, ton unique, celui que tu aimes ; va-t’en au pays de Moria, et là offre-le en sacrifice sur l’une des montagnes que je t’indiquerai. Abraham se leva de bon matin, sella son âne, et prit avec lui deux serviteurs et son fils . Il fendit du bois pour le sacrifice , et partit pour aller au lieu que Dieu lui avait dit. Lorsqu’ils furent arrivés au lieu que Dieu lui avait indiquait, Abraham y éleva un autel, et rangea le bois. Il lia son fils , et le mit sur l’autel, par-dessus le bois. Puis Abraham étendit la main, et prit le couteau, pour égorger son fils. Alors l’ange de l’Éternel l’appela des cieux, et dit :
Abraham ! Abraham !
Et il répondit :
Me voici !
L’ange dit : Ne dirige pas ta main sur l’enfant, et ne lui fais rien ; car je sais maintenant que tu crains Dieu, et que tu ne m’as pas refusé ton fils, ton unique. Abraham leva les yeux, et vit derrière lui un bélier retenu dans un buisson par les cornes ; et Abraham alla prendre le bélier, et l’offrit en sacrifice à la place de son fils. De tout cela, que retenons-nous ?
Dieu promit à Abraham une postérité, de grandes nations qui seront issues de sa descendance. Brusquement, au moment où le patriarche commençait à jouir de ces bienfaits, le seigneur veut lui ravir son fils, et lui demande de « faire le travail à sa place. » Les commentateurs ont indiqué que, devant tant de malheur subit, Abraham aurait protesté timidement : Tu m’as promis une postérité, une multitude plus nombreuse que les étoiles du ciel, qui ne peut être comptée comme le sable, et tu me reprends celui par lequel cette descendance va se perpétuer. Les exégètes précisent bien, que les protestations d’Abraham ont été « timides. » Le pauvre homme ne comprenait pas. Ce que nous retenons également, c’est la foi qui animait le cœur du patriarche ; Le moment de surprise, de révolte, passé, de révolte, passé, il a obéi, corps et âme, à la décision divine. Pas un instant il n’a hésité, il a vérifié que les liens étaient bien noués, avant de lever son couteau. Autre sujet de réflexion, la coutume d’égorger un mouton. Il est des mots qui restent gravés dans la mémoire, des mots qui ont été dits alors que nous étions encore enfants et qui ne veulent pas sortir de notre subconscient. Ces mots les voici tels qu’ils m’ont été prononcés, ensuite traduits en français :
El âda ah’ram ! » La coutume est un péché. Pourquoi me diriez-vous ? Prenons le cas d’un père de famille, qui a sacrifié le mouton pendant plusieurs années, qui se trouve brusquement dans une situation pécuniaire difficile ; doit-il poursuivre cette coutume, cette habitude ? Les commerçants connaissent les habitudes des familles, ils savent qu’il leur est difficile de les changer ; alors ils profitent pour augmenter d’une façon scandaleuse, le prix de ces denrées. Mais imaginons un instant qu’on passe outre , une année , la tradition d’égorger un mouton pour l’aid , les répercussions économiques que cela aurait . L’expérience a déjà eu lieux au maroc sur ordre du roi Hassen 2.
AÏD SAÏD OU MOUBAREK , KOL AAM WINTOUMA BKHIR !
Que le sacrifice rituel soit accepté par
ALLAH.
Qu’Il accède à vos désirs, qu’Il apporte la joie et la santé dans toutes les familles !